Balade plus que cool samedi 2 avril après midi

et les autre foto

Diablo a écrit:

et les autre foto

les voila Jacky patience tu l'aura ton ami va roooo Et désolé si les commentaires ne sont pas trop alignés mais je n'ai pas trop l'habitude encore...

Ah si j'oublies une chose: QUI EST CE QUI AURAIT UNE CIGARETTE ????? et la notre Diablo se fait tout petit et fait l'anguille envers son pote (radin va...)

je suis pas radins deja mait la si je lui en donner une il nous aurai pas lacher mdr

bien les photos et les commentaire aussi

merci merci j'ai fais ce que je pouvais...

Et on ne remercie pas celui qui a tout remis dans l'ordre...

Jackol a écrit:

Et on ne remercie pas celui qui a tout remis dans l'ordre...

merci Jack (mais tu pouvais au moins faire ça...)

Ben voyons..

Manque le CR

Ouais! c'est vrai ça...

Jackol a écrit:

Ouais! c'est vrai ça...

Allo Cathy...

"Vin Dieu, j'ai chaud au chapeau!"

Valek a écrit:

"Vin Dieu, j'ai chaud au chapeau!"

trop trop fort!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Qui dit nouvelle moto dit balade de rodage. Et comme la météo est très prometteuse en cette fin de semaine, rien de plus normal que d’organiser une petite balade de remise en pneu après cet hiver quelque peu inexistant.

C’est donc à Baume les Dames qui nous décidons de nous retrouver. Et comme toute starlette digne de ce nom, la Noiraude 3ème du nom s’est faite attendre au lieu de rendez-vous : il ne fallait pas rater son entrée dans le monde. Tout le monde est là quand nous arrivons : des anciens et des nouvelles : Diablo et sa femme, Valek et sa copine (dont j’ignore le prénom), Jankfa, Rono et son atèle (voila ce que c’est que de se croire djeune), Fifi (sans sa tronçonneuse), Goupil (sans sa Goupilette : faut bien qu’il y en ait une qui travaille).

Après une courte présentation de la Noiraude, nous partons donc en balade : Dammartin les Templiers – la vallée de la Grâce Dieu – Pierrefontaine les Varans – le Dessoubre jusqu’à St Hippolyte – Vaufrey – la douane. A la demande de nos compagnons nous décidons de trouver un bistrot pour faire une petite pause. Je crois en avoir vu un à Glère. Nous faisons donc demi-tour et nous nous garons devant le terrain de boules. Les chaises et les tables semblent avoir passé l’hiver dehors : un petit coup d’éponge n’aurait pas été du luxe. Comme il fait beau nous décidons de rester en terrasse (terrasse qui se trouve de l’autre côté de la route – pas très pratique quand même). Goupil est envoyé en éclaireur afin de savoir si le troquet était ouvert (un pompier ça a l’habitude des buvettes). Fifi a le courage (ou l’inconscience on se demande) de rentrer dans l’établissement. Il nous dira en ressortant que les occupants des lieux ont l’air d’avoir fort festoyé, et surtout picolé, et qu’aucun ne semble sobre. Des cadavres de bouteilles emplissent les lieux. Ils n’ont pas dû s’ennuyer. Bon on va attendre que l’un d’eux daigne venir prendre notre commande. Il faut reconnaitre qu’ils ne sont pas pressés. Enfin l’homme des bois sort de sa tanière : l’œil vitreux, la démarche vacillante, l’esprit quelque peu embrouillé : un grand cahier à la main pour noter la commande. Mais comme il ne semble pas apte à noter quoi que se soit, il charge Christine de cette tâche. Je ne sais pas ce que Diablo lui a fait, mais une grande histoire est née sous nos yeux. En plus le pauvre, imaginez, sa femme et lui venaient de divorcer. Seul et abandonné, il recherchait sans doute écoute et réconfort.
- Y en a qui fument ?
- Non, personne ne fume, répond Diablo qui récupère discrètement le paquet de cigarettes posée sur la table, sous les yeux de notre hôte
- Ah ben tant pis ! Qui veut un orangina ?
Pourquoi il n’y a rien d’autre ? C’est tout ce qui reste dans le bistrot ! Vu l’état du tenancier et de ses amis, c’est fort possible.

Une fois la commande notée, nous le regardons s’éloigner en nous demandant s’il arrivera à apporter toutes les consommations sans encombre. Comme quoi les miracles existent, le plateau arrive sur la table sans aucun problème. (Notre serveur était-il moins imbibé que les autres ?)

On a quand même bien déliré. Des cas on en avait déjà rencontré, mais celui-ci, il a la palme.

Le groupe se sépare ici : Rono, Jankfa et Diablo décident de rentrer. Quant aux autres, nous poursuivons la balade initialement prévue : Direction la Suisse, Ste Ursanne, Bassecourt. A la sortie du patelin Jack est distrait par un tracteur et s’engage sur la voie ferrée alors que le feu et le signal sonore auraient dû l’inciter à s’arrêter. Conscient de son erreur et de son imprudence, il franchit le passage plutôt que de faire marche arrière. Manque de bol, de l’autre côté une voiture de police : alors que nous attendons nos compagnons de route, 2 flics arrivent d’un pas décidé vers nous :
- C’est pas très prudent ce que vous avez fait là Monsieur
- Je sais bien Monsieur l’agent, mais j’ai été surpris et distrait pas le tracteur et je n’ai pas vu le feu
- Vous savez que ce que vous avez fait est très grave et que vous risquez une amende de 250 CHF
- Mais ce n’était pas volontaire du tout répondit mon pilote
Et moi de surenchérir :
- Si cela avait été volontaire, croyez-vous que l’on se serait arrêté ?
- C’est bon pour cette fois, mais faites attention. Le beau temps revient, les motards ont tendance à faire n’importe quoi.
- Merci Monsieur l’agent.

Et nous repartons soulagés. On a vraiment eu de la chance sur ce coup-là. Nous retrouvons la petite troupe un peu plus loin : entre Valek qui fait un potin d’enfer et Fifi qui roule en pneu lisse, nos compagnons n’ont pas pris le risque de s’arrêter près des flics.

On reprend la route en direction des gorges du Pichoux – Saignelégier – Goumois – Maiche. Peu avant Maiche, grosse frayeur : Fifi et Goupil ne nous suivent plus. Demi tour : quand nous arrivons à leur niveau, Fifi a démonté le top-case, la selle, et en voyant du plastique par terre, on craint le pire. Mais non, en fait pas de chute, juste le câble d’embrayage qui a cassé. Pas moyen de réparer. Et un samedi à 18 h 30, pas évident de trouver quelqu’un pour le dépannage. Goupil l’emmène jusqu’à Maiche, où il y avait un temps un concess Yamaha. Mais celui n’existe plus, une autre concession a pris la place et elle est fermée. De retour, Fifi décide de laisser sa bécane dans la maison la plus proche, pensant revenir la chercher plus tard. Par chance, l’occupant de la demeure est un motard, artisan électricien. Et voilà comment par le plus grand des hasards Fifi va réussir à réparer pour rentrer chez lui.

Y a pas à dire, cette première balade était vraiment pleine de rebondissements. Un bon présage pour nos futures sorties ?
Enfin on a passé un super moment, on a bien ri, et tout est bien qui finit bien. Que demander de plus !

Heu... bien rentré... j'ai fait un petit détour, mais c'est bon je suis arrivé...

Pour me faire pardonner du retard, quelques photos :
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Et voili... bonne nuit les petits....

Cathy a écrit:

Qui dit nouvelle moto dit balade de rodage. Et comme la météo est très prometteuse en cette fin de semaine, rien de plus normal que d’organiser une petite balade de remise en pneu après cet hiver quelque peu inexistant.

C’est donc à Baume les Dames qui nous décidons de nous retrouver. Et comme toute starlette digne de ce nom, la Noiraude 3ème du nom s’est faite attendre au lieu de rendez-vous : il ne fallait pas rater son entrée dans le monde. Tout le monde est là quand nous arrivons : des anciens et des nouvelles : Diablo et sa femme, Valek et sa copine (dont j’ignore le prénom), Jankfa, Rono et son atèle (voila ce que c’est que de se croire djeune), Fifi (sans sa tronçonneuse), Goupil (sans sa Goupilette : faut bien qu’il y en ait une qui travaille).

Après une courte présentation de la Noiraude, nous partons donc en balade : Dammartin les Templiers – la vallée de la Grâce Dieu – Pierrefontaine les Varans – le Dessoubre jusqu’à St Hippolyte – Vaufrey – la douane. A la demande de nos compagnons nous décidons de trouver un bistrot pour faire une petite pause. Je crois en avoir vu un à Glère. Nous faisons donc demi-tour et nous nous garons devant le terrain de boules. Les chaises et les tables semblent avoir passé l’hiver dehors : un petit coup d’éponge n’aurait pas été du luxe. Comme il fait beau nous décidons de rester en terrasse (terrasse qui se trouve de l’autre côté de la route – pas très pratique quand même). Goupil est envoyé en éclaireur afin de savoir si le troquet était ouvert (un pompier ça a l’habitude des buvettes). Fifi a le courage (ou l’inconscience on se demande) de rentrer dans l’établissement. Il nous dira en ressortant que les occupants des lieux ont l’air d’avoir fort festoyé, et surtout picolé, et qu’aucun ne semble sobre. Des cadavres de bouteilles emplissent les lieux. Ils n’ont pas dû s’ennuyer. Bon on va attendre que l’un d’eux daigne venir prendre notre commande. Il faut reconnaitre qu’ils ne sont pas pressés. Enfin l’homme des bois sort de sa tanière : l’œil vitreux, la démarche vacillante, l’esprit quelque peu embrouillé : un grand cahier à la main pour noter la commande. Mais comme il ne semble pas apte à noter quoi que se soit, il charge Christine de cette tâche. Je ne sais pas ce que Diablo lui a fait, mais une grande histoire est née sous nos yeux. En plus le pauvre, imaginez, sa femme et lui venaient de divorcer. Seul et abandonné, il recherchait sans doute écoute et réconfort.
- Y en a qui fument ?
- Non, personne ne fume, répond Diablo qui récupère discrètement le paquet de cigarettes posée sur la table, sous les yeux de notre hôte
- Ah ben tant pis ! Qui veut un orangina ?
Pourquoi il n’y a rien d’autre ? C’est tout ce qui reste dans le bistrot ! Vu l’état du tenancier et de ses amis, c’est fort possible.

Une fois la commande notée, nous le regardons s’éloigner en nous demandant s’il arrivera à apporter toutes les consommations sans encombre. Comme quoi les miracles existent, le plateau arrive sur la table sans aucun problème. (Notre serveur était-il moins imbibé que les autres ?)

On a quand même bien déliré. Des cas on en avait déjà rencontré, mais celui-ci, il a la palme.

Le groupe se sépare ici : Rono, Jankfa et Diablo décident de rentrer. Quant aux autres, nous poursuivons la balade initialement prévue : Direction la Suisse, Ste Ursanne, Bassecourt. A la sortie du patelin Jack est distrait par un tracteur et s’engage sur la voie ferrée alors que le feu et le signal sonore auraient dû l’inciter à s’arrêter. Conscient de son erreur et de son imprudence, il franchit le passage plutôt que de faire marche arrière. Manque de bol, de l’autre côté une voiture de police : alors que nous attendons nos compagnons de route, 2 flics arrivent d’un pas décidé vers nous :
- C’est pas très prudent ce que vous avez fait là Monsieur
- Je sais bien Monsieur l’agent, mais j’ai été surpris et distrait pas le tracteur et je n’ai pas vu le feu
- Vous savez que ce que vous avez fait est très grave et que vous risquez une amende de 250 CHF
- Mais ce n’était pas volontaire du tout répondit mon pilote
Et moi de surenchérir :
- Si cela avait été volontaire, croyez-vous que l’on se serait arrêté ?
- C’est bon pour cette fois, mais faites attention. Le beau temps revient, les motards ont tendance à faire n’importe quoi.
- Merci Monsieur l’agent.

Et nous repartons soulagés. On a vraiment eu de la chance sur ce coup-là. Nous retrouvons la petite troupe un peu plus loin : entre Valek qui fait un potin d’enfer et Fifi qui roule en pneu lisse, nos compagnons n’ont pas pris le risque de s’arrêter près des flics.

On reprend la route en direction des gorges du Pichoux – Saignelégier – Goumois – Maiche. Peu avant Maiche, grosse frayeur : Fifi et Goupil ne nous suivent plus. Demi tour : quand nous arrivons à leur niveau, Fifi a démonté le top-case, la selle, et en voyant du plastique par terre, on craint le pire. Mais non, en fait pas de chute, juste le câble d’embrayage qui a cassé. Pas moyen de réparer. Et un samedi à 18 h 30, pas évident de trouver quelqu’un pour le dépannage. Goupil l’emmène jusqu’à Maiche, où il y avait un temps un concess Yamaha. Mais celui n’existe plus, une autre concession a pris la place et elle est fermée. De retour, Fifi décide de laisser sa bécane dans la maison la plus proche, pensant revenir la chercher plus tard. Par chance, l’occupant de la demeure est un motard, artisan électricien. Et voilà comment par le plus grand des hasards Fifi va réussir à réparer pour rentrer chez lui.

Y a pas à dire, cette première balade était vraiment pleine de rebondissements. Un bon présage pour nos futures sorties ?
Enfin on a passé un super moment, on a bien ri, et tout est bien qui finit bien. Que demander de plus !

Un seul mot Cathy BRAVO!!!!! pour ce joli C.R et Goupilette vous donne le bonjour

Oué c'était une bonne balade. En plus avec le rodage de la bécane à Jackol j'ai fait du 2L/100. Ca vaut le coup parfois de ce traîner la nouille.

Ah oui et au fait Cathy, ma femme s'appelle Maurice! Oups non ça c'est le titre d'un film à la con. Ma copine s'appelle Céline

Oui c'est Céline...

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bravo tres bien cathy

Jackol tu trouves que j'ai une tête de René?

(si tu mets une image de René la taupe moi je dis trop facile!)

ben moi je vote, et je dis que Valek a une tête de René....les bouclettes en plus...

titi-au-pole-nord a écrit:

ben moi je vote, et je dis que Valek a une tête de René....les bouclettes en plus...

Pareil

Tout seul devant son petit écran avec son petit clavier et sa grosse souri (j'ai vu ça à un documentaire, c'est pour compenser...) ça parle!
Mais dès qu'on est sur la moto c'est plus la même chose là! Je vois du vert rétrécir dans mes retro!

Valek a écrit:

Tout seul devant son petit écran avec son petit clavier et sa grosse souri (j'ai vu ça à un documentaire, c'est pour compenser...) ça parle!
Mais dès qu'on est sur la moto c'est plus la même chose là! Je vois du vert rétrécir dans mes retro!

C'est normal, t'as qu'à partir dans la même direction que nous

Valek a écrit:

Tout seul devant son petit écran avec son petit clavier et sa grosse souri (j'ai vu ça à un documentaire, c'est pour compenser...) ça parle!
Mais dès qu'on est sur la moto c'est plus la même chose là! Je vois du vert rétrécir dans mes retro!

pour un mec qui roule en mobylette, je te trouve bien courageux. et le vert que tu vois rétrécir dans tes rétros, c'est des tracteurs john deere....tu sais, les seuls engins que tu arrives a doubler sans être obligé de tomber 3 rapports....